jeudi 8 février 2007

Pourquoi donc?

Je me suis toujours demandé d'où prend naissance l'entrain, l'ambition, la volonté, le vouloir et j'en passe...
C'est une question qui me tracasse... Est-ce une chose qu'on nous enseigne au banc de l'école où est-elle congénitale...?
J'ai toujours exigé le meilleur de moi même, j'en exige autant de ceux qui me sont chers... J'ai horreur de la médiocrité.. Et ça me désole de savoir qu'autour de soi, la majorité écrasante se contente de ce qu'elle a, rejetant la chose sur son destin... Qu'elle ne cherche nullement à aller de l'avant... Pourquoi aspirer à mieux est impossible chez certain?
Ce moteur qui est en nous faut savoir le faire tourner à plein régime...
Ras le bol de voir les gens baisser les bras car ils n'osent pas... Oser est une des clé de la réussite... Se faire confiance d'abord pour qu'on nous fasse confiance en retour et surtout croire en soi...

25 commentaires:

Jamal a dit…

Ah enfin la Bssissima! tu en a mis du temps pour avoir la volonté de poster dans la Halqa...mais vieux moutard que jamais! j'apprécie ce genre de questions essentielles! maintenant il va falloir développer tout ça!

karim bekouchi a dit…
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karim bekouchi a dit…

L'ambition, la volonté, l'entrain. Tant d'énergie à dépenser. Pardi il faut avoir une bonne raison pour le faire!!
La réponse à ta question est l'espoir.
Si, par contre, les règles du jeu sont connus et le résultat est couru d'avance rien ne sert de courir pour si peu!
http://9afia.blogspot.com/2007/01/rass-edderb-ou-pourquoi-les-marocains.html

Anonyme a dit…

wa bsima qui étrenne!!
et re wa ...pour un premier post c'est vachement cérébral et comme dit ce vieux développé d'la glande: va falloir développer...et approfondir du même coup

oies, jars et assimilés s'abstenir

bouhali...caneton

Imaaane a dit…

bien, je ferme mon bec, même quand la caravane ne passe pas.

Anonyme a dit…

râleuse !

tu vois moi, je suis dindon et pourtant ça ne m'empêche pas d'aboyer même quand il n'y a pas de caravane...et pourquoi me diras-tu?

ben packe moi j'ai de l'ambition, de la volonté du vouloir et du j'en passe...na!

Imaaane a dit…
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Imaaane a dit…

..:))
oki, bon va dandiner ailleurs, g envie de filozofer cet aprem.

t'as pas précisé bssissima, si c'est l'ambition d'avoir ou celle d'être.
si c'est l'ambition d'être, qui pousse à des remises en questions ,je pense que c'est incompatible avec la grande confiance en soi, regarde la majorité de nos mecs !! élevés comme des enfants rois, servis par les femmes de la tribu, adultes petris de certitudes, eh ben un mec de chez nous, ça doute pas des masses, ça évolue pas des masses, rien à prouver, rien a se prouver,rajel kay3ibou ghir jibou, et là hop, c'est l'ambition d'avoir, pace que cette dernière..elle est insatiable, un gouffre sans fond, ce n'est plus de l'insatifaction qui fait élever, mais de la frustration en chronique qui rabaisse, qui rend vil..et à ce chapitre là, je pense qu'il vaut mieux parfois savoir apprécier et se contenter de de ce qu'on a..
hein Bouhali je t'en bouche un coin coin là..j'aurais pu faire mieux, mais je me contente de mon avoir cerebral..j'ai la certitude que c'est précisément à ce quotient là qu'on est tout bonnement trèèèèèès heureux..:))

8 février 2007 17:16

Anonyme a dit…

Quand tant de mises aux points tournent aux mises aux poings !

M’en boucher un coin dit-elle ! Doute ou certitude ? Quand tant de questionnements sans réponses donnent à mon bulbe l’aspect d’une passoire…

Sinon j’adore l’exemple. Revenir perpétuellement à l’antagonisme ancestral du rapport de force homme/femme nous ferai arpenter sans porte de sortie la récurrence « obsessionnelle » d’un faux débat où la généralisation et la catégorisation, qui ne manquera pas de s’en suivre, ne serait à l’avantage ni de l’une ni de l’un.

Entre doute et suspicion il demeure une subtile nuance que je n’aimerai pas franchir…même par mégarde. Raison pour laquelle j’ouvre donc une parenthèse

Personnellement je n’appréhende pas les rapports homme/femme sous un ciel ou la lune est en mars poussant au ballet harassant du « qui dominera l’autre ? ». Et juste histoire de mettre un peu de sel dans ma réponse et te laisser baigner dans le doute de ta certitude, j’avoue cependant que quand la femme passe devant la télé au moment d’un match de foot, un méchant réflexe rémanent de ma période « enfant roi » (c’est la faute à une femme encore…hein maman ?), me fait détendre la jambe pour la botter en touche de mon champ visuel. Il y a des choses sacrées dans la vie.

A part donc cette précédente et toute petite imperfection dans le mécanisme cognitif, j’aborde les rapports avec l’autre dans l’acceptation totale et sans conditions des particularités de son altérité…quel que soit l’animal de compagnie :))

Mais là n’était pas le débat proposé par la charmante Bsima pour qui le mal ne vient pas, pour l’instant, intrinsèquement du mâle.

Je m’en reviendrai donc, sur un autre comm, sur le questionnement premier et j’espère, chère Imane, que tu sauras distinguer le bon grain de l’ivraie dans ma façon bordélique de présenter les choses….avec beaucoup de second degré il va sans dire. J’aurai bien aimé te faire un joli dessin mais tu m’aurais encore accusé de dépréciation tendancieuse dans un but sexiste.

Tendres baiser sur ton…allez permettons nous une petite familiarité pour rester conforme à notre image de faune lubrique…doux fessard !

Bouhali ….l’homme de (bonne) volonté

Imaaane a dit…

oulalaa bechouya 3lia..moi non plus je ne suis pas partisane des rapports de forces, et je pense que beaucoup d'hommes se sont auto-éduqués depuis leur période enfant rois, mais c'était juste un exemple,qui a servit de support à un com au billet de bssissima, dont le sujet comme vous dites reste à developper, préciser, orienter..mais du coup hein ?, personne ne developpe..
de toute façons c'est devenu récurrent sur l'halqa, B2 aussi vient de poster un truc au moins aussi vague et évident..pareil, je lui ponds un com, il me fé " euh noon c pas ça..merci imane", et puis hop !!..on en parle plus.
je ne sais pas si c'est vrai pour vous, mais moi, faut qu'on me précise de quoi on cause au juste, sinon, sinon la prochaine fois je dis plus rien, histoire d'éviter kon fasse la remarque à l'obsessionnelle que je suis (sais pas d'où il sort ça d'abord l'autre) qu'elle est hors sujet juste pour le plaisir de rabâcher des sujets usés et réccurents, pace que ça la travaille depuis 10 piges.
bon, sur ce, je vais m'abstenir de faire des com histoire de faire oublier ma réputation de nevrosée..
mais sur ton compte il avait raison, t'es un vrai obsédé..:)

Anonyme a dit…

hahaha!! (rire franc et sans arrière pensée aucune)
N’aggrave pas ton cas. Je ne tiens pas à ajouter "caractérielle" à ton charmant portrait :))

je ne crois pas à l'auto éducation en matière d'ego, à moins d'être naufragé solitaire dès l'âge de deux ans ce qui laisse, avoues le , peu de chances de survie.

Cependant je suis heureux et enchanté de constater, même si c'est encore au stade du soupçon,...comment dire...une tendance vers la souplesse ou plutôt vers la baisse de l'agressivité et donc tu te retrouves moins prompte à tirer la dague pour charcuter ce bouhali prétentieux, imbu, obsédé et d'un pédant insultant limitant toute l'intelligence sublime de la femme au bout de ses tétons :))

Mes chemins de traverse te font apparemment grand bien et je t'exhorte donc à m’y suivre plus souvent (ma tanière n'est pas loin et mes instruments tortionnaires se morfondent dans une longue période d'inactivité) :))

Et pour en revenir au basmayen questionnement j’avais au cours d’une remontée réminiscente formulée la chose de l’ego -entre doute, miroir et certitude - de cette manière :

Il est des souvenirs qui restent gravés dans nos mémoires, comme si celles-ci s'accrochaient à ces bribes de vies pour rassembler les morceaux épars de notre identité, reconstituant le puzzle de nos "moi" quelque part inachevés, y puisant à l'usure en fonction de l'instant, les images, les sons et les odeurs permettant de nous reconnaître dans les événements de nos existences.

Elle est loin l'époque où, justement par l'absence de ces réminiscences, l'enfant que nous étions, au souvenir encore rare, lorsqu'il se mirait dans un miroir, jubilant devant cette complétude enfin trouvée, se retournait instinctivement vers le regard de sa mère pour une confirmation de la certitude apaisante de son être. Elle est certainement loin cette douce époque où, la tendresse d'un regard maternel suffisait à remettre le puzzle désordonné par nos "et moi?" en place et en phase de nos émois.

Nous voilà adultes. Forts de nos certitudes ? pas toujours hélas ! Tant d'images se mélangent dans nos têtes qu'on s'y perd parfois à se demander de laquelle nous vêtir. Si mamans et enfances sont lointaines aujourd'hui, n'en demeure pas moins le désir intense de notre identification à l'architecture que l'on croit être capable, vaniteusement, d'envisager en toute objectivité sans plus attendre ni rechercher les approbations initiales et sentimentales qui nous avaient guidés et rassurés quand nous en étions encore aux fondations.

Nous voilà grands et prétentieux de notre savoir, nous complaisant dans un "moi" où le plus souvent l'autre, lorsqu'il nous reflète une image imparfaite, se trouve être l'exutoire de notre imperfection nous poussant à le maudire pour le bonheur qu'il ne nous donne pas. En fin de compte nos certitudes ne seraient-elles qu'un jeu de miroir ou l'image de soi se trouve sans cesse amarrée au discours de l'autre?

C'est en voulant approfondir cette question, qu'au fil d'une lecture, je découvris ce stupéfiant récit :Un chinois qui venait de mourir, fut tout d'abord envoyé en enfer afin de mieux goûter le paradis. Il y trouva des hommes tristes et faméliques, attablés pourtant devant des bols pleins de riz. S'approchant d'eux, il vit le handicap qui était à l'origine de toute leur souffrance: leurs baguettes mesuraient deux mètres de long ! arrivé au paradis, le spectacle fut des plus déroutants. Les individus étaient sereins et repus, pourtant les baguettes posées sur la table mesuraient aussi deux mètres de long! Lorsque le repas débuta dans la bonne humeur, notre homme put constater avec stupéfaction que chacun nourrissait celui qui était assis en face de lui…

Je compris alors, grâce à cette parabole chinoise, ce que pourrait être l'humilité de reconnaître nos failles, sans prétendre atteindre à la perfection, car elles témoignent de nous autant que nos acquis . Ces failles que l'on colmate par ce plat préféré de l'âme : la vanité. Je compris surtout, en laissant remonter cette réminiscence de la vision "saine" de l'enfant qui sommeille au fond d'une de ces failles que, justement, parce qu'il est l'écran de toutes mes projections et qu'il participe à la découverte de moi-même, l'autre n'est plus celui qui m'empêche d'exister mais celui qui me permet d'être

bouhali....sage dans ses obsessions

Imaaane a dit…

Cher Bouli li, en plein période chintock, suis peut être caractérielle certes, mais à priori, peut être miraculée selon toi, sortez les kleenex et admirez le miracle:
quand tu dis
"je ne crois pas à l'auto éducation en matière d'ego, à moins d'être naufragé solitaire dès l'âge de deux ans ce qui laisse, avoues le , peu de chances de survie "
pace que naufragée solitaire, je l'étais, pas à deux mais à 5..sans repère parental, ces derniers étaient déjà les autres, sans le regard apaisant et restructurant d'une mère, g dû reconstituer mon petit puzzle dispersé toute seule dans ma petite bulle de môme, dans le conflit, l'adversité et la confusion identitaire.
suis je pour autant asociale ?, pas du tout, c'est dans la souffrance qu'on apprend l'humilité et l'empathie, et c'est dans la solitude que l'on se découvre, qu'on est immunisé des préjugés ambiant..et c'est grâce au vécu par la suite, que l'on arrive à faire la résilience, et donc son auto-éducation, tt est rattrapable, gosse, je ne pouvais pas concevoir que l'on puisse être tt juste accepté momentanément sans le mériter, mais g pu vivre ce shéma de relation "normée" parent-enfant, à travers ma maternité de façon chépakoi dire instinctive..et ça m'a permis de recorriger ma vision, et ajuster mes repères.
si je me cherche, dans le regard des autres ? alors là, pas du tout, si je m'étais adonnée à cet excercie petite, j'aurais pas survécu, mon égo en serait pulvérisé, par contre g developpé un instinct de survie monstre qui fait que, je me retracte, et je condamne tout rapport avec l'autre, que je juge nocif..il est pas question, que je subisse, le jugement et les tares des autres, les miennes que je perçois, par pure effort d'auto-critique objectif et d'auto-observation me suffisent..fuire le conflit, les casse ovaires dès que je le renifle, ça doit être la seule cicatrice dont j'arrive pas à faire la résilience et entre nous, j'y tient pas trop, la vie est courte...pour se faire ch..
ton exemple chinois, prouve non la sagesse mais juste l'intelligence ravivée par un instinct de survie tt bête...leur soucis premier n'était il pas tt juste de pas crever bêtement de faim ?
mas bon il est certain qu'on a pas les mêmes repères, peut être que certains me font défaut, certainement tu sais pas de koi je cause et tant mieux pour toi..:)

Jamal a dit…

prolifiques les bougres! comment vous faites?

Anonyme a dit…

Merveilleuse et impétueuse Imane. Mon clin d’œil caractériel était au second degré mais bon comme tu dis nous n’avons peut-être pas les mêmes repères quoique je te trouve faire quand même preuve de sur-certitude en avançant cela car ne connaissant rien, ou vraiment très peu de moi.
D’un autre côté personne ne t’ayant demandé de te justifier (et surtout pas moi) car personne ne te jugeant, il se peut que le condamné d’avance que je suis, dans ta perception unidirectionnelle de ce qui n’est pas toi, perçoive ton comm. comme un appel au secours amenant avec inquiétude mon esprit à grandes oreilles (c’est mon côté don quichotte) à reformuler cette fameuse formule « SAIN ET SAUF » dans l’unicité du sauf conduit.
Alors avant de continuer à déblatérer mes conneries de bête survivante et pour que tu puisses dans le futur accepter l’effet miroir de mon regard sans trop t’offusquer je te demande :

Veux- tu accepter mon amitié…pas pour la chose rassures toi et à la limite je pourrais de temps à autre me laisser aller à un pincement de fesses pour te rassurer sur ta féminité…parce que ce que tu viens de faire là (pour moi c’est de la triche) en déballant un pan de ta vie, revient en fait à dresser un mur…un bouclier contre mon franc et innocent parler. Ça me pousserait continuellement à faire attention à ce que je vais dire handicapant ainsi le meilleur de l’interactivité consensuelle entre deux êtres qui s’assument pleinement…et à ça je ne peux m’y résoudre l’hypocrisie n’étant pas dans ma nature…même virtuelle

Bien sûr tu peux m’envoyer balader et te référer à ta légendaire « objectivité » pour me faire endosser le heaume de la nocivité symbolique de l’autre (je suis bien dans dark vador aussi tu sais) je n’en m’en offusquerai pas et après trois jours 13 heures et onze minutes de pleurs sur mon oreiller je retrouverai tout l’aplomb de l’enfant roi nageant dans le bonheur de sa certitude

Et je demande pardon à bsima pour cette incartade…mais y avait un homme à la mer


don bouhali de la mancha

Anonyme a dit…

Glandu> en ce qui me concerne j'ai mangé des brocolis à midi

imane? tout le monde sait maintenant qu'elle est sous perfusion à solution gazeuse (fortement psychotrope)

Anonyme a dit…

et je préviens à l'avance...si meurtre il y a c'est la faute à Bsima

Imaaane a dit…

quel héroïsme, quelle prétention émouvante !!..dit t elle en écrasant une larme..:)
je ne dévoile pas un pan de ma vie, comme on brandit un crucifix, et condamner l'intrusion, c'est juste pour t'expliquer, qu'il y a d'autres modes de fonctionnement hors normes, loin des yeux complaisants de papa-maman, ne me victimise pas,si je te parle de résilience, c'est que je pense que l'on n'est pas l'éternelle victime de son vécu, un vécu que l'on rabâche pour se déresponsabiliser et quémander les circonstances atténuantes, ne me victimise pas,ne me ménage pas, laisse moi au moins l'illusion de m'en être sortie saine et sauve..sinon tu ferai de moi la victime, de ton égo monstre à la don quichotte..sauveur des âmes torturées, et des handicapés du relationnel...:))
quant à notre amitié,, elle s'est bien installée, et sans que tu t'en rendes compte, elle s'est confirmée après un passage obligé de rituels/clashs au fil des com..elle a survécu, elle est déjà acceptée.
et puis de ma vie, g jamais touché aux psychotropes, y pas plus nocif qu'un psy, ils ont le don de renouer les noeuds défaits et vous les mettre sous le nez pour justifier leurs honoraires...:))
mais n'empêche, il me semble que je suis bien passée sur le divan de l'halqa là..:)
à qui le tour ?

Anonyme a dit…

je vois !...on s'rattrape comme on peut :)) mais bon passons outre et si sur le divan il y a eu allongement il est vrai que je n'ai pu définir la couleur de la culotte. C'est vous dire toute l'étendue de ma délicatesse :))
revenons donc au thème principal qui baguenaude entre l'ambition, qui n'est pas toujours une qualité, et la croyance en soi qui n'est pas toujours un défaut.
faut dire que bsima à eu la main un peu large dans l'ouverture de l'évantail du sens. Mais bon défrichons et débrousaillons nous finirons bien par mettre le doigt sur le centre mou de cette démangeaison

Imaaane a dit…
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Bsisima a dit…

ohh la la je m'absente 1jr et l7i7a nayda fal7al9a chouia dial nidam...
Glandu: sincèrement,a depart j'avais un chouia per de ce que j'aura pu pondre face a vos écrits qui n'ont pas d'égal... Le genre la "barhoucha" de la 7al9a qui parle :) Et toi tu en penses quoi?

Imane/Bouhali: ayayay, vous lire m'a donné mal a la tête, j'ai comme l'impression parfois que vos jeu de ping pong depassent lhalqa :)

Bouhali: je ne suis pas responsable d'un quelconque meurtre commis.. Et dsl d'avoir ete a l'origine de ce casse tete chinois, qui prouve que tu as autant de volonté qu'eux :)

Imane: pr ce qui est de quelle ambiion: c'est les 2 en fait, je palais d'un peu de tout...

Allez congitons ensemble :)

Imaaane a dit…

zavez entendu bsissima? elle parlait un peu de tout, allez cogitez et bezzerba..:))
Bssissima, ana m'zawga évite de pianoter tes com dans le noir..
bisouilles la bssissima, notre leblase en herbe..:))

Bsisima a dit…

Au fait faut me dire félicitation :)

Et mon invitation tiens encore!

Imaaane a dit…

Youpiiiiiiiiii bsissima va casser sa tirelire cochonnet rose, et nous inviter tous à un happy meal au Mc do..félicitations..:)))

Anonyme a dit…

Bsima> F&élicitations pour quoi?? tu te maries???

Bsisima a dit…

Bouhali: g juste réussi mes partiels du 1er semestre haut la main 3afak :) koike j'ai souffert...

Pou le mariage, faut d'abord le trouvé le mari :)