jeudi 14 décembre 2006

Réponse aux incrédules...ces as des ass !




















Bon arrivé à ce stade de blogomania, (encore un mot non homologué par l’académie des lettres qui peine à suivre vu la prolifération de la terminologie du nouveau qui n’arrête pas de se renouveler) faut-il sans doute apporter quelques clarifications sur la hauteur de notre (notre ici veut dire moi, et uniquement moi, dans toute l’unicité de ma particule) esprit à qui la panoplie des mots existants ne suffit plus à traduire la particularité de sa sublime essence qui galvaude à des hauteurs que très rarement égalées de la part de ceux qui se prétendent être mes semblables…ces prétentieux !

C’est donc en toute modestie que je soulève un pan de mon humble savoir pour que mon illustre vous éclaire de toute la force de sa lumière et vous permette, même de très loin ce qui n’est déjà pas peu, de me suivre dans mes ténébreuses, quoique distinguées, élucubrations.

Le mot « NASME » naquit donc dans notre impénétrable esprit un jour de grâce où, me mettant dans la peau des plus commun des mortels ( de ceux qui regardent la télé une bière dans une main et les vergetures de l’embigoudée moitié dans l’autre), je regardais débattre et se débattre la chose poilue qui occupait, d’après les aboiements de mon chien qui le prenait pour un de ses cousins afghans, le fauteuil de la primature, pas encore mature, de la très culturelle ministrerie.

Boule de poils s’onanisait donc ( ou s’ânanisait pour les moins instruits) dans son discours à s’enivrer de son éjaculation verbale (on entendait en bruit de fond… du fin fond de son cortex les aaah aaaah !) où chaque chute de phrase résonnait en orgasme qu’il nous balançait - blowjob éhonté - en plain visage dans un écarquillement d’yeux qui se voulait complice.
J’en fus écoeuré. C’est là donc que mon esprit, à la pertinence certaine en matière d’analogie animalière sur le point commun, s’en vint à le comparer à un nain de jardin se livrant, devant une assemblée d’ânes du poitou, au plaisir de l’onanisme…le plus bas, celui que la roture dénomme branlette,
De Nain à orgasme la contraction de l’accouchement ne tarda pas à provoquer l’ostracisme douloureux de ce nouveau mot dans la terminologie mes neurones emmagasineuses…et c’est ainsi que "NASME" naquit pour le plus grand plaisir des ronchonneurs en manque de verbe rabroueur….

Bouhali…le grand

5 commentaires:

Jamal a dit…

Alléluia, Ö Grandissime hermaphrodite, le fruit de votre travail et poussée périnéenne déverse sur nous les spasmes et les pléonasmes en vague de plaisir jusqu'à l'ultime émulsion lactée, et la populace se pavane, voyant proche le Pays de Cocagne et redemande de vos soubresauts si géniaux!

Poussez! Poussez votre Haute bien Béance
est notre corne d'abondance!
Ö Sérénissime Duplicata,à l'occasion de votre délivrance, veuillez agréez donc nos spasmes les plus contractés!

Le Glandu placenthaire

as a dit…

Peux-tu m'inventer le mot qui decrit le lien entre les deux maris de deux soeurs?

kb a dit…

ben je dirais tout de go sans trop me fouler la rate ni l'os du foie :

"consoeurtium"

:))

as a dit…

serieux, le mot qui décrit ce lien n'existe dans aucune langue.
Mais ton approche familio-industriel colle comme deux soeurs.

Imaaane a dit…

ouiii..t'as raison, Bouhali..le grand, le magnifique..

raison pour laquelle je voulais que tu nous pondes un post chaque jour tu t'en rappelle ??
ben, tu vois ? g réussit....MOUHAHAHAHAHAHAHHA
moralité : ce que femme veut
dieu l'exauce et le multiplie en deux..:)))
toujours un plaisir de te lire.